En quatre minutes, un camion lancé sur la foule provoque la mort de 86 personnes et fait 458 blessés, mais aussi des milliers de traumatisés et une ville meurtrie.
« On n’est pas blessé physiquement, mais on est blessé dans sa chair. »
Le choc, les images, l’incompréhension, puis, au lendemain, c’est la sidération pour Mouna. Des mois plus tard encore : la peur de sortir, l’angoisse au moindre bruit, les insomnies, les questions sans réponse. Pour elle et sa fille, la reconstruction a été longue, accompagnées par les psychologues, puis soutenues par les équipes du Bleuet de France et de l’ONaCVG, elles ont peu à peu retrouvé des repères.
Aujourd’hui, Mouna témoigne pour toutes celles et ceux qui portent en eux des blessures invisibles.
Le Bleuet de France accompagne chaque année des milliers de victimes, de militaires blessés, de familles endeuillées.
Grâce à votre soutien, cet élan de solidarité continue d’exister.



